" Sapristi !



... comme je vais être belle ! »

A peine levée, debout devant la glace, les mains écartant les pans de ma chemise matinale, je ne me lasse pas de me voir grossir.
Mes hanches se décarrent, mon ventre se tend, mes saillances s’atténuent.
Mes muscles disparaissent un peu sous un matelas d’épiderme, ma peau est d’un lisse ! La fraîcheur pâle et délicate d’un tendron !
Mon bidon s’ovalise gentiment, plus d’os qui cognent au regard, ceux de la hanche surtout, sont réduits à de légères protubérances, effleurant ma surface au-dessus de mes cuisses. Mes cuisses ! Entre chaque muscle tendu d’une articulation à l’autre, je vois les diverses dénivellations se garnir de chair fraîche.
Quand je me couche sur le dos, je n’ai plus le bassin creux.
De l’aisselle à la naissance de mes gambettes, la ligne est sans heurt, douce, pure.
Des seins ronds et fiers, avec, juste en dessous, deux muscles en formes de petites montagnes, une taille affolante, des hanches bien dessinées, bandantes.

Je m’écouterais, je deviendrais autosexuelle.

Commentaires

À lire

Le Tzolkin : les bases

Hard Lemon - Volubilis

Le Tzolkin : pratiques personnelles

Relations inclusives / exclusives

Vassilissa la très belle

Le Guide du Voyageur Galactique - Douglas Adams

Joyeux Noël... Norman Rockwell !

Locus de contrôle

Triangle du feu