Sarah Bernhardt (dernière)

Il paraît que j’ai un don pour le drame… mais c’est pas moi, c’est Sarah ! Entre nous, l’affaire se finira mal pour tout le monde, et Sarah n’y a pas échappé.
Reprenons donc où nous nous sommes arrêtés dans le cours de la vie de cette actrice et femme hors du commun, affamée d’amour, et blessée jusqu’à l’os : alors qu’elle atteint ses buts, la maladie fait mine de vouloir briser ses élans. Même là, elle vaincra, finissant quasiment octogénaire !
Atteinte d’une tuberculose osseuse, la maladie s’aggrave en 1887, alors qu’elle doit sauter chaque soir d’un balcon pour les besoins d’une scène de La Tosca, se recevant sur les genoux. Treize ans plus tard, suite à un accident au cours d’un duel pour Le Procès de Jeanne d’Arc, sa blessure est plâtrée mais vire à la gangrène, ce dont on ne s’apercevra que trop tard. Elle en supportera la douleur sans jamais cesser de travailler, jouer, séduire et briller. Peut-être pour se confronter à la fragilité de son existence, malgré sa gloire, elle se met…
Reprenons donc où nous nous sommes arrêtés dans le cours de la vie de cette actrice et femme hors du commun, affamée d’amour, et blessée jusqu’à l’os : alors qu’elle atteint ses buts, la maladie fait mine de vouloir briser ses élans. Même là, elle vaincra, finissant quasiment octogénaire !
Atteinte d’une tuberculose osseuse, la maladie s’aggrave en 1887, alors qu’elle doit sauter chaque soir d’un balcon pour les besoins d’une scène de La Tosca, se recevant sur les genoux. Treize ans plus tard, suite à un accident au cours d’un duel pour Le Procès de Jeanne d’Arc, sa blessure est plâtrée mais vire à la gangrène, ce dont on ne s’apercevra que trop tard. Elle en supportera la douleur sans jamais cesser de travailler, jouer, séduire et briller. Peut-être pour se confronter à la fragilité de son existence, malgré sa gloire, elle se met…