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Affichage des articles du juillet, 2007

Sommeil

Il a parfois le sommeil agité, dans une palette allant du ronflement provoqué par des années d’enfance ravagées par les colutoires, au coït inconscient. Les hommes ronflent, c’est bien connu (quoique je connaisse une fumeuse qui rend ses voisins insomniaques et désagréables au réveil), mais avant de passer à l’écarte-naseaux et autre produit qui vous soulagera à la fois les oreilles et le porte-monnaie, suggérez leur tout d’abord de dormir sur le côté. Jvous jure, ça marche. Les hommes se touchent la bite aussi, dans leur sommeil. Même ceux qui n’ont pas cette vulgaire habitude de porter la main au paquet 67 fois dans la journée le font. Il est de ceux-là. Et que je me la tripote, que je te me la prend à rebrousse-poil. J’aime bien le regarder faire ça. J’aime surtout le voir se la toucher, la manipuler, la cajoler, sa façon d’y porter les doigts, de la saisir, de la remonter le long de son ventre, de se tâter les couilles. Le voir faire ça, se relaxiter, c’est voir son int

Éloge du mariage, de l'engagement et autres folies - Christiane Singer

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Éloge du mariage, de l’engagement et autres folies , par Christiane Singer, aux éditions Albin Michel « Si le mariage n’était que l’union d’un homme et d’une femme, il ne pèserait pas bien lourd. Car il existe aussi un sinistre enfermement du couple, des variations multiples d’égoïsme à deux. Ce qui rend le mariage si fort et indestructible, c’est qu’il réunit un homme et une femme autours d’un projet.

Ça y est...

... ça commence à se voir.  Un tout petit peu, devant la glace, en me mettant de profil. Par contre, pour la couturière, c'est limite : je ne rentre plus dans le bustier au prix à trois chiffres qu'elle m'a confectionné avec amour. Pour la vendeuse de lingerie, c'est le pied, de vendre du C au lieu de vendre du A. Et pour moi, c'est jouissif.

Dors

Une veille difficile : des questions en suspens, des frustrations invivables qui ont eu le tort de ne pas rester silencieuses... C'est dur la vie à deux, mais sans lui, je meurs. Son travail lui prend tant de temps, il aimerait que je sois assez grande pour "gérer". Ça fait au moins 5 fois que je le lui promets, et que finalement, j'en suis incapable. Discussion âpre, qui l'a mis littéralement par terre. On a avancé, un peu, mais le plus dur reste à faire. Comme c'est dur de trouver les mots justes.