Respirer suffit
En
ce moment, à l’heure de la branlette (14h-16h les bons jours), je me place sur
le ventre, les deux mains passées par en dessous, la première sur le bouton de
mise à feu et l’autre sur le périnée. J’ai arrêté de me branler étant couchée
sur le dos parce que ça me donnait des crampes… Et puis comme ça, sur le
ventre, mes bras serrent un peu mes ptits nichons et mes mains surélèvent mes
fesses, c’est juste comme il faut. J’ai tendance à me branler directement
par-dessus mes sous-vêtements, ça évite les glissades intempestivement
dangereuses (je porte les ongles longs et acérés).
Étant
donnée l’intensité de ma sexualité ces temps derniers, je ne m’en sors pas sans
avoir vidé la boîte à malices. Et puis en ce moment, aussi (il s’en passe des
choses à chaque seconde de la vie, hein ?) j’aime la double. Et vous savez
comme sont les choses, souvent par paires, quand on aime la double, c’est déjà
qu’on aime la sodomie. J’ai vraiment tous les vices.
Et
comme je suis par définition sans aide logistique à l’heure de la branlette, je
fais l’être civilisé, j’utilise des outils, avec ma main préhensible à pouce en
opposition… Je sors le Ptit Mousse, et puis le Capitaine. Je les prépare
(nettoyage, lubrification) et les pose à portée de main (allez savoir, j’aurai
ptêt les yeux fermés).
Mise
en place (je garde la culotte, le t-shirt, mais pas les chaussettes !),
état des lieux. J’adore découvrir l’état de ma chatte à un instant X. C’est
comme mes nichons ou la peau de mon visage : ils ne se ressemblent pas
toujours. Là, je suis épilée de frais, je sens les replis de chairs fermes et
dodus, mes lèvres sont un peu dures, peu lubrifiées…. Même pas peur, je promène
quelques doigts là-dedans, puis je saisis le Ptit Mousse. Le Ptit Mousse n’est
pas en mousse, c’est un espèce de gel translucide (vaguement rouge) à qui l’on
a eu la drôle d’idée de ne donner que presque une forme de bite. Disons qu’il y
a un gland. L’objet est relativement court, et étroit, c’est flasque, quand on
le dresse il se dandine sur lui-même, on peut faire tout plein de comique de
situation avec, ce qui est toujours bienvenu dans un pieu, je trouve (enfin,
quand je suis seule, non, pas trop). Je le passe sous moi et avec mes deux
mains, je le dépose entre mes fesses. Faut pas croire, même pour nous c’est
compliqué, alors qu’on est quand même les mieux placées. Bref, le plus dur
c’est d’y entrer, après ça va tout seul.
J’ai
déjà exprimé ici les sensations produites par la sodomie, là, c’est un peu
différent, le partenaire est froid, peu réactif et manque de souplesse. Sur ce
dernier point, le Ptit Mousse est le plus compétent. Je le rentre tout entier,
je peux pas dire que je prenne mon temps, ça peut être fait très vite même, si l’on
s’y prend bien. Je m’y prend bien, donc, et là, je me rends compte que j’ai encore
oublié lé miroir. J’aime voir. Je laisse le gode en place, en le retenant d’une
main sous mes fesses, pour aller chercher l’outil manquant. On ne voit plus
ressortir que le repli à la base qui vous signale qu’on ne peut pas aller plus
loin, ça m’excite grave, je m’assois sur le lit, accroupie, pour le faire
bouger doucement à l’intérieur de moi en bougeant le bassin. Je me recouche, me
caresse, me branle en pensant à des trucs très cochons.
Quand
je sens que si ça continue il faudra que ça s’arrête, ou si l’orgasme que je me
suis octroyée ne m’a pas passé l’envie de m’en mettre jusque là, le Capitaine
entre en scène. C’est la taille au-dessus du Mousse, il est épais, (surtout au
début), tout à fait rigide, d’un blanc de nacre. Assez stylé. Mais surtout, il
a des piles. C’est le grade au-dessus du Mousse, donc : un vibro. Je
l’aime parce qu’il est intraitable est que c’est le plus puissant question
vibration. Cela dit, je l’utilise pas tous les jours plein pot, je me ferai du
mal… Je l’allume, allegro, et me caresse avec, tout en retenant de l’autre main
le Ptit Mousse. Je présente la rude forme ovoïde entre mes lèvres, pousse
doucement… On conseille normalement l’inversion des introductions (de commencer
par la voie vaginale, donc), mais je fais bien ce que je veux ! Je
l’introduis doucement mais sûrement, en imaginant des trucs encore plus cochons
avec des hommes qui ont des très grosses queues (mais je vous assure que le
plus remarquable, c’est leur façon de s’en servir).
Autant
le Ptit Mousse peut se faire oublier, laissant simplement une délicieuse
sensation de contentement dans le bas du dos, le Capitaine, lui, bat le rappel
de toute l’équipe. J’ondule du popotin pour le faire aller et venir, ça fait
bouger le Ptit Mousse en même temps, et quand j’ai tout mis, jepose mes deux
mains en couvercle entre mes cuisses que je resserre pour tout mettre au creux
de moi. Et là, c’est même plus la peine de bouger. Respirer suffit.
Un
orgasme survient fatalement, deux si je veux, plus si j’ovule, avec ou sans les
mains, à la moindre secousse, je me resserre sur les godes à m’en faire mal,
des fois je me dis que ça doit me faire des bleus.
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