Je vais vous dérouler ici ma petite liste à moi de chants,
musiques et refrains féministes. L’idée c’est qu’on y trouve un maximum de
nénettes, de genres et d’époques. N’hésitez pas à participer en commentaires !
A prononcer très vite : conisation, utérus, aménorrhée, dysménorrhée, parturition, glaire cervicale, trompe de Phallope, cul-de-sac vaginal. Bienvenue en Gynécologie. Quand vous lirez ces lignes, je m’éveillerai doucement, telle la Belle au Bois Dormant dans son cercueil de verre sous les lèvres du Prince Charmant, avec un utérus tout neuf. Plus concrètement, ce sera dans une clinique privée, après une anesthésie générale, une conisation à la anse thermique et une vaporisation laser dans le CSV, le tout par les voies naturelles. Le Prince Charmant n’a qu’à bien se tenir. Ça en jette comme ça, avouez que ça donne envie d’en savoir plus. Ma chirurgienne est un bon médecin : elle explique, elle demande si j’ai des questions et y répond. Avec le langage des médecins, bien sûr. Je n’ai pas eu d’explication pour l’opération au laser. Il se trouve que le virus a également attaqué la paroi de mon CSV (ça me fait rire parce que même mon médecin
Cette nouvelle est, parmi les textes que j'y publie, celle qui marche le mieux sur Wattpad : avec 120 000 lectures à son actif, elle se classe dans les premières positions de la catégorie #Nouvelles depuis pas mal de mois. [EDIT : ce texte a fini par se faire striker, je ne sais pas trop pourquoi, on est sur un niveau de porn assez light, mais bon. Flemme de la remettre en ligne, lisez-la donc ici !] Elle se présente comme une parodie de 50 nuances de Grey (que je n’ai pas lu, donc bon…) et se base sur ma propre expérience des relations de domination / soumission. À une certaine époque de ma vie, j’ai tremper un orteil dedans : un mec m’avait captée sur je ne sais plus quel site et on avait commencé un petit jeu… il avait mis en place des règles (qui sont devenues les chapitres de cette histoire) et m’a lancé quelques challenges à relever, genre me pisser dessus, me branler d’une certaine façon à heure fixe etc… le dernier, c’était d’acheter en même temps, et seul
Il n’est pas nécessaire d’être experte en astronomie maya pour comprendre le Tzolkin ! Mais ça demande une petite gymnastique mentale quand même. Prête à stimuler tes neurones ? Note : toutes les images sont réalisées par moi (à part ce petit logo Hunab Ku à gauche) et sont libres de droit. Vous pouvez les imprimer, les partager... Si vous y trouviez des erreurs, je vous serais très reconnaissante de bien vouloir me les signaler, je m'empresserais de les corriger :) Rassure-toi, pragmatique terrienne qui peut-être craint la magie, je te rappelle que le Tzolkin est une application mathématique , ce ne sont que des nombres qui se combinent entre eux. C’est à la fois spirituel et logique. Le meilleur récapitulatif que j’ai trouvé est celui-ci, sur le site du Musée Canadien de l’Histoire , il nous rafraichira la mémoire sur ce qu’on a appris hier sur les mayas : Le calendrier maya date probablement, dans sa forme finale, du premier siècle av. J.-C. et i
Utiliser le calendrier maya , c’est jouer avec sa symbolique. Il amène à visualiser chaque jour de notre vie comme des briques qui s’empilent les unes sur les autres au fil du temps. Chaque jour, tu poses ta pierre. Eh bien je ne sais pas vous mais moi, avant, j’oubliais toujours les petits cailloux que je laissais derrière et je me sentais toujours un peu perdue, incapable de comprendre comment j’en étais arrivé là. C’est fini tout ça. Cette façon de procéder rend les choses très vives, très présentes, pour ainsi dire… inoubliables. Celleux qui pratiquent l’art du temps maya le disent toustes : tu vois ta vie en 4D. Le Calendrier des 13 Lunes et le Tzolkin fournissent des plans d’interprétations à plusieurs niveaux : quotidien, mensuel, annuel ou à l’échelle de toute la vie. Donnez-vous quelques heures de calme et lancez-vous… Je vous propose des fiches à compléter pour dresser vos portraits de naissance et annuel, n’hésitez pas non plus à imprimer les tableaux qu
L’histoire de Vassilissa possède les contours typiques du conte initiatique. Il est long, riche et aussi ardu qu’on le voudra bien. Il en existe évidemment diverses versions, divers auteurs, mais le premier à le recenser est le russe Alexandre Afanassiev à la fin du XIXème siècle, dans son ouvrage Contes Populaires Russes. L’histoire y est illustrée par Ivan Bilibin, images qui devraient vous rappeler quelques souvenirs…
Ok, j’ai remis un peu d’ordre dans les chapitres précédents (la mise en page cafouillait), je me lance donc dans la suite de cette série d’articles commencée en 2014. J’en ai profité pour mettre tout plein de petits liens de rien du tout, histoire d’améliorer notre connaissance du vieux français. Pour rester dans l’ambiance « vieille poussière et patriarcat suranné » j’ai privilégié les liens vers cette institution poussiéreuse et surannée qu’est le Littré (tu sais ce dictionnaire qui ne connait pas le mot « pizza »). Petit rappel : Tristan a conquis la belle Iseut pour le compte de son père d’adoption le roi Marc, mais les deux tombent amoureux après avoir bu par erreur un philtre d’amour. Des barons jaloux de l’amour que le roi voue à Tristan ont vendu la mèche, Tristan a échappé de peu au bûcher, Iseut aux sévices sexuels de lépreux et les amants maudits se sont réfugiés dans la forêt du Morois. Las de cette vie misérable, ils ont finalement décidés de céder face à l
La saga continue ! Franchement plus je prends de l’âge et moins je m’étonne de voir l’amour prendre autant de place dans nos vies ; et quand je dis l’amour, j’inclus la baise bien sûr, disons notre activité endocrinienne sexuelle dans son ensemble. Il semble bien que ce soit la maison de notre ego. Il y en a qui l’ont tout gros et puis il y en a qui l’ont très exposé, tout nu voire tout abîmé. Il y en a qui ouvrent la porte et il y en a qui la ferment, il y en a aussi qui vous séquestrent là-dedans. Il y en a qui prennent soin de leur cœur et il y en a qui s'astiquent la bite / le clito. Aujourd’hui, on continue de parler de relations non-exclusives et de se demander si, par hasard, la valeur de nos actes ne serait pas ailleurs que dans les mots qu’on utilise pour les décrire.
Une super vidéo, en anglais mais sous-titrée en français, dont je vous fais un petit résumé. Au passage, TOUTES les vidéos du Pop Culture Detective sont recommandables !
Saartjie est une jeune femme Boschimane : une indigène d’Afrique du Sud, du Cap pour être plus précise. Saartjie serait née en 1789 (mais ça n’est pas certain), date qui doit vous évoquer quelque chose… vous savez les droits de l’homme, toussa… et bien, Saartje n’en verra jamais la couleur. Elle est noire, dans le Sud de l’Afrique. C’est une fille. Et elle possède des particularités physiques qui lui valent d’être livrée par sa famille à sa naissance au baas du coin… Saartjie porte des caractères féminins hypertrophiés : stéatopygie (fesses et hanches) et « tablier hottentot », c’est-à-dire une macronymphie, des organes génitaux protubérants. Entre ses jambes pousse une sorte de réminiscence du sexe masculin.
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