Chenille et papillon, le tout sur ton pare-brise



Bon.

Voilà, voilà...

Non pas que... mais bon. C'est sûr.

Pour faire simple : ...

Non, c'est pas possible, c'est forcément compliqué.

Pensez donc.

Qu'on ne me parle plus d'heures supplémentaires payées double, ou je mords.

Qu'on ne me parle plus de réchauffement climatique, de limitation des rejets et de gâchis d'énergie, ou je barris.

Qui me parle de respect de l'homme, de la femme, du travailleur, du fonctionnaire ? Je le piétine !!!

Ramène donc ta gueule pour me dire qu'il faut lever le pied, et je te retouche la facade avedc la délicatesse dont je sais faire preuve, quand je veux.

Plains-toi encore une seule fois de tous ces enfants mal élevés, et je te noies.


Voilà, la mamelle de la nation, parmi d'autres (et dont est mon Poilu, au même régime), dont je suis (ce n'est pas de la prétention, non, mes fonctions professionnelles forcent ce constat) est foulée au pied chaque jour, malmenée, humilié, humainement dégradée. Je carbure au yoga et au Millepertuis (super efficace ce truc, faut-il que je n'ai pas eu ma dose aujourd'hui pour parler de ma vie avec tant d'aigreur !) pour ne pas voir ce que je suis devenue : une esclave. Et depuis que j'ouvre ma gueule, les emmerdes me tombent dessus à belles pelletées.

Donc, voilà.

Entre internet qui a pris son bardas pour aller voir ailleurs si j'y suis (l'est con, je suis là !!! Là !!!), mon anorexie qui fait mine de ressortir du tombeau, ma fille qui me supplie légitimement de m'occuper d'elle, mon mari aux abois, et le boulot qui me rouleaucompresseconstrictor, il m'est techniquement et humainement impossible de faire vivre ce blog. Clairement, ces temps-ci, j'avale nettement plus de kilomètres que de foutre.

Prions pour qu'Hautetfort ne décide pas un matin que ce blog ne sert plus à rien.

Pour éviter sa fermeture, je vous invite à venir vous branler quotidiennement sur les pauvres émanations de mon corps et de mon esprit.

Sale temps, aujourd'hui.







Edit : après des lunes et des lunes d'absences, votre si peu fidèle bienfaitrice reprend du poil de la fesse... y 'a plus qu'à avoir une connexion internet, hmm ?

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