Il n’est pas nécessaire d’être experte en astronomie maya pour comprendre le Tzolkin ! Mais ça demande une petite gymnastique mentale quand même. Prête à stimuler tes neurones ? Note : toutes les images sont réalisées par moi (à part ce petit logo Hunab Ku à gauche) et sont libres de droit. Vous pouvez les imprimer, les partager... Si vous y trouviez des erreurs, je vous serais très reconnaissante de bien vouloir me les signaler, je m'empresserais de les corriger :) Rassure-toi, pragmatique terrienne qui peut-être craint la magie, je te rappelle que le Tzolkin est une application mathématique , ce ne sont que des nombres qui se combinent entre eux. C’est à la fois spirituel et logique. Le meilleur récapitulatif que j’ai trouvé est celui-ci, sur le site du Musée Canadien de l’Histoire , il nous rafraichira la mémoire sur ce qu’on a appris hier sur les mayas : Le calendrier maya date probablement, dans sa forme finale, du premier siècle...
Utiliser le calendrier maya , c’est jouer avec sa symbolique. Il amène à visualiser chaque jour de notre vie comme des briques qui s’empilent les unes sur les autres au fil du temps. Chaque jour, tu poses ta pierre. Eh bien je ne sais pas vous mais moi, avant, j’oubliais toujours les petits cailloux que je laissais derrière et je me sentais toujours un peu perdue, incapable de comprendre comment j’en étais arrivé là. C’est fini tout ça. Cette façon de procéder rend les choses très vives, très présentes, pour ainsi dire… inoubliables. Celleux qui pratiquent l’art du temps maya le disent toustes : tu vois ta vie en 4D. Le Calendrier des 13 Lunes et le Tzolkin fournissent des plans d’interprétations à plusieurs niveaux : quotidien, mensuel, annuel ou à l’échelle de toute la vie. Donnez-vous quelques heures de calme et lancez-vous… Je vous propose des fiches à compléter pour dresser vos portraits de naissance et annuel, n’hésitez pas non plus à imprimer les ta...
Cette nouvelle est, parmi les textes que j'y publie, celle qui marche le mieux sur Wattpad : avec 120 000 lectures à son actif, elle se classe dans les premières positions de la catégorie #Nouvelles depuis pas mal de mois. [EDIT : ce texte a fini par se faire striker, je ne sais pas trop pourquoi, on est sur un niveau de porn assez light, mais bon. Flemme de la remettre en ligne, lisez-la donc ici !] Elle se présente comme une parodie de 50 nuances de Grey (que je n’ai pas lu, donc bon…) et se base sur ma propre expérience des relations de domination / soumission. À une certaine époque de ma vie, j’ai tremper un orteil dedans : un mec m’avait captée sur je ne sais plus quel site et on avait commencé un petit jeu… il avait mis en place des règles (qui sont devenues les chapitres de cette histoire) et m’a lancé quelques challenges à relever, genre me pisser dessus, me branler d’une certaine façon à heure fixe etc… le dernier, c’était d’acheter en...
Saartjie est une jeune femme Boschimane : une indigène d’Afrique du Sud, du Cap pour être plus précise. Saartjie serait née en 1789 (mais ça n’est pas certain), date qui doit vous évoquer quelque chose… vous savez les droits de l’homme, toussa… et bien, Saartje n’en verra jamais la couleur. Elle est noire, dans le Sud de l’Afrique. C’est une fille. Et elle possède des particularités physiques qui lui valent d’être livrée par sa famille à sa naissance au baas du coin… Saartjie porte des caractères féminins hypertrophiés : stéatopygie (fesses et hanches) et « tablier hottentot », c’est-à-dire une macronymphie, des organes génitaux protubérants. Entre ses jambes pousse une sorte de réminiscence du sexe masculin.
L’histoire de Vassilissa possède les contours typiques du conte initiatique. Il est long, riche et aussi ardu qu’on le voudra bien. Il en existe évidemment diverses versions, divers auteurs, mais le premier à le recenser est le russe Alexandre Afanassiev à la fin du XIXème siècle, dans son ouvrage Contes Populaires Russes. L’histoire y est illustrée par Ivan Bilibin, images qui devraient vous rappeler quelques souvenirs…
Là, on peut dire que je débarque après la bataille… La saga du Sorceleur est initialement publiée dans un périodique de fantasy polonais dès 1986 (et jusqu’en 2013 en France pour le dernier opus) sous forme de nouvelles, puis de romans aux éditions Bragelonne en France, adapté en jeux vidéo ( The Witcher , The Witcher 2 : assassins of kings puis The Witcher 3: Wild Hunt ) de 2007 à 2015, puis en série sur Netflix en 2019 par Lauren Schmidt Hissrich , cette œuvre vendue à plus de 15 millions d’exemplaires a eu le temps de faire plusieurs fois le tour de la terre.
Millénium - Les films (1) LE GENRE : VIOLENT C’est le mot qui convient le mieux pour décrire ce film, à condition de le prendre dans toute sa richesse, sa polysémie, son homophonie… C’est son genre d’abord : policier ou thriller. C’est son thème ensuite : la violence faite aux femmes. C’est son contenu enfin, et son message : femmes, voici comment se défendre des violences qui viennent des hommes. En deux mots : DÉFENSE et JUSTICE . La violence est le point central de cette histoire, elle en est quasiment un protagoniste. Elle est traitée sur le mode réaliste. Les moments de violences physiques sont sporadiques, avec des paroxysmes dans chaque opus.
Maman est folle On n’y peut rien Mais c'qui nous console C'est qu'elle nous aime bien Quand elle s'envole On lui tient la main Comme un ballon frivole Au gré du vent qui vient
Un conte traditionnel Inuit, écrit et interprété par Clarissa Pinkola Estés dans son ouvrage Femmes qui courent avec les loups . Vous trouverez l'audio du conte ci-dessous, puis des extraits de son analyse à la suite du conte, ainsi qu'un court-métrage de Sarah Van Den Boom qui s'en est inspiré. Bonne écoute / lecture !
C’est un joli petit livre, paru initialement aux éditions Hannenorak sous le titre Chroniques de Kitchike : la grande débarque en 2017. Son auteur, Louis-Karl Picard-Sioui en a fait à la fois un éclat de rire et un cri d’amour, pétri de réalisme et de magie, à la culture des grands dépossédés d’Amérique du Nord, ceux qu’on appelle les « Natifs », les « Indigènes », le « peuple premier ». Les colonisés du Canada. Il vous invite à passer quelques jours dans la vie d’une réserve fictive, Kitchike, au plus proche de ses habitantEs : littéralement dans leur église, leur canapé, dans leur tête. Rêves ontologiques compris. Extraits, lectures, si tu tombes pas en amour asteure, ça n'a pas d'bon sens !
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